Quand on est photographe indépendant, on doit tout faire tout seul.
Les photos bien entendu, mais aussi le post-traitement, trouver les sujets, l’administratif, la comptabilité, le marketing, la communication, le community management, le démarchage, le service après vente, le ménage et le café.
Mais ce n’est au final pas le plus compliqué.
Car le vrai problème quand on est indépendant et donc plus salarié d’une entreprise, c’est que l’on n’a plus de patron derrière nous pour nous dire quoi faire, quand et de quelle façon.
C’est à nous de définir nos propres objectifs, ainsi qu'un plan et un planning pour les atteindre, et c’est à nous de trouver la motivation pour avancer tous les jours le plus possible.
Or lorsque l’on a la possibilité de se lever sans réveil le matin et d’arrêter de travailler quand on veut, il n’est pas toujours facile de trouver la motivation pour faire ce qui doit être fait.
On manque tous de discipline.
Et c’est normal.
Depuis tout petit on ne nous laisse pas vraiment développer cette compétence pourtant essentielle qu’est l’auto-discipline.
L’école nous dit quoi faire, avec ses devoirs et ses examens. Puis la hiérarchie de l’entreprise pour qui ont travaille comme salarié s’occupe de nous formater en fonction de ses objectifs.
Personnellement, j’ai compris l’intérêt de l’auto-discipline quand j’ai choisi d’aller à la Fac plutôt que dans une classe « prépa » pour intégrer ensuite Sciences-Po.
Quand on prépare l’un des plus durs concours de Grande école tout en achevant une licence dans une université bloquée par les mouvements sociaux, et en cumulant un petit boulot en restauration pour payer le loyer, forcément, on apprend à être plus efficace…
Puis, quand on se lance dans le métier de photojournaliste free-lance sans rien y connaître en technique photo ni en vente, il faut également apprendre à travailler efficacement, ne pas perdre de temps et donc être plus productif.
Pour être productif, il faut apprendre à être motivé tous les jours. Car c’est cela qui permettra de ne pas tomber dans la procrastination et donc l’échec de ses projets.
Sur internet et dans de très nombreux livres, on nous parle de plusieurs méthodes et choses à faire pour parvenir à cet objectif.
On nous parle de « méditation », de « routines », de « miracle morning », de « pomodoro » ou encore de « plan de 90 jours ».
Ces dernières années, j’ai essayé toutes les méthodes conseillées par la plupart des gourous en productivité et tout n’a pas fonctionné.
Cependant, plusieurs techniques ont eu de très bons résultats sur ma productivité et ces dernières années j’ai pu grâce à elles atteindre de très gros objectifs, comme par exemple réaliser et vendre des dizaines de reportages à la presse magazine, réaliser plusieurs documentaires vidéo, créer des centaines de vidéos pour YouTube et mes formations, écrire plusieurs livres, monter une nouvelle société et doubler son chiffre d’affaires deux années consécutives et enfin monter un collectif de photographes.
Ces derniers mois, j’ai d’ailleurs atteint ces objectif tout en voyageant non stop autour du monde avec un seul sac à dos.
Tout ce que j’ai accompli n’est pas « extraordinaire » dans le sens où tout le monde peut avoir ces résultats à condition de s’en donner les moyens et d’être vraiment productif.
C’est pourquoi j’ai créé cet atelier de formation intitulé « Photographe Productif », disponible dans ma Masterclass pour photographe professionnel.